Pouvons-nous parler de l’avenir de l’énergie nucléaire sans basculer dans le parti du « pour » ou du « contre » ?
Comment envisager le devenir des centrales nucléaires et du paysage après leur démantèlement futur ?
Les travaux des étudiants de Master architecte paysagiste émailleront le dispositif de l’accrochage.
Lors d’ateliers menés en 2018, les étudiants ont répondu à une question ouverte qui prend comme base de réflexion la communication sur « la culture du nucléaire ».
Les travaux présentés sont le résultat d’un quadrimestre d’ateliers menés conjointement entre des enseignants liés à la pratique de l’architecture du paysage, des enseignants scientifiques liés au paysage sous ses aspects écologiques et de l’agriculture urbaine, ainsi que par des artistes enseignants et praticiens.
L’exercice, prétexte à l’élaboration d’une narration paysagère, s’est appuyé sur l’hypothèse du démantèlement de la centrale nucléaire de Tihange, et plus largement à la question des futurs post-industriels dans la vallée mosane. Les étudiants ont répondu à cette question multiple par une analyse critique et inventive.